* Bélier
* Taureau
* Cancer
* Lion
* Vierge
* Balance
* Scorpion
* Sagittaire
* Capricorne
* Verseau
* Poissons




Les mille et un visages du Gémeaux
Troisième signe du Zodiaque, le Gémeaux correspond à l'âge de l'adolescence, celui où l'enfant cohabite avec l'adulte naissant, où l'anatomie se modèle peu à peu. La petite fille au corps droit devient femme aux lignes courbes. Le petit garçon aux traits fins se transforme en homme fort. D'où votre côté androgyne qui vous donne cette séduction insaisissable. Et votre jeunesse éternelle si souvent enviée.

Parce que votre signe est double, presque multiple, l'Arlequin traduit à merveille vos nombreux visages et vos mouvements incessants. À l'image des jumeaux Castor et Pollux qui vous symbolisent sur le plan mythologique, et comme les jumeaux monozygotes, il existe en vous deux personnalités qui semblent s'opposer : celle qui prend le pouvoir à l'extérieur et celle qui domine à l'intérieur. Votre expression change à chaque instant, passant d'un état à l'autre : ludique ou sérieux, coquin ou rigoureux, inconstant ou précis, candide ou perspicace, léger ou pensif, amusé ou grave, émotif ou mental, ouvert ou réservé. Pourtant, ce ne sont pas vraiment des contradictions. Plutôt une mobilité, une souplesse et surtout, une vraie complémentarité.

Mercure, Messager des Dieux et Maître de votre signe, vous confère une nature cérébrale. Vous aimez les mots, la pensée, la communication, les gestes, les déplacements, la liberté, les rires, les débats de fond qui ne vont pas trop au fond des sentiments. Signe d'Air, vous n'aimez pas beaucoup les effusions d'émotion qui pourraient troubler le fil de vos réflexions.

Pour vous, la vie est un jeu permanent. Grâce à votre curiosité infinie, vous voulez tout vivre. Vous partez à la rencontre de tout ce qui peut stimuler votre goût de l'inédit. C'est pourquoi vous expérimentez de nombreuses existences, avant de trouver vraiment votre voie. À l'intérieur de ce nouveau cadre, il vous faudra toujours de l'espace pour votre indépendance.

Marion Brauner



© Marion Tamar 2006